tag:blogger.com,1999:blog-22515884.post116110012957091612..comments2022-03-26T23:13:34.559+01:00Comments on Atelier Clément Rosset: Rien n'est possibleUnknownnoreply@blogger.comBlogger7125tag:blogger.com,1999:blog-22515884.post-1161193276341569932006-10-18T19:41:00.000+02:002006-10-18T19:41:00.000+02:00Je ne cherchais nullement à sauver la liberté, mai...Je ne cherchais nullement à sauver la liberté, mais à ne pas passer du libre arbitre à l'excès inverse. Ceci étant, votre argumentation est très convaicante et j'avoue que le concept de puissance est plus pertinent pour envisager l'action que celui de liberté. Il faut dire que c'et un terme tellement galvaudé...<BR/>Je ne prétends nullement être rossétien, car je pênse qu'une philosophie est profitable quand elle vous aide à être vous-même, pas en devenant un clone ou un zélateur... Quel est le plus beau compliment que l'on puisse produire pour louer le génie de l'oeuvre de Schopenhauer - Nietzsche.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-22515884.post-1161182116197727052006-10-18T16:35:00.000+02:002006-10-18T16:35:00.000+02:00L'Ethique est écrite "more geometrico". C'est donc...L'Ethique est écrite "more geometrico". C'est donc ainsi qu'il est préférable de la lire. En commençant par Dieu (le début) et en finissant... par la liberté, la béatitude et... Dieu (la fin)!<BR/><BR/>Bonne lecture!<BR/><BR/>Pour ce qui est de la puissance, son concept me paraît à tout prendre moins obscur que celui de liberté que vos tenez à tout prix à défendre. Quand vous écrivez un commentaire sur ce blog, vous exercez votre puissance. Cela s'éprouve et se constate facilement. Où sont les traces de votre liberté en revanche? Une personne me rend joyeux. Je m'efforce de la rejoindre, par le corps et la pensée, j'exerce ma puissance (pécuniaire s'il le faut!, physique et intellectuelle en tout cas). En revanche, qu'est-ce qui accroît ma joie dans la retrouvaille? Non pas d'avoir librement pris le train pour venir, d'avoir librement pris ladite personne dans mes bras; mais bien de sentir ma puissance d'être augmentée de la joie que j'éprouve. Enfin, lorsque vous construisez un meuble. Vous vous démenez, pestez contre le concepteur du plan de montage, etc... D'où vient votre joie, une fois le meuble installé? De votre liberté? Non, de la compréhension du plan, de la nécessité avec laquelle les parties se joignent les unes aux autres, de l'idée adéquate que vous avez enfin du tout et de ses parties articulées en raison. Ces exemples non spinozistes et fort naïfs tendent à vous montrer que partout où vous chercherez vous concevrez et EPROUVEREZ de la puissance (vous affectez, vous êtes affectés), rarement ou jamais de la liberté... Vous qui souhaitez être rossétien, mon cher Koffi, n'oubliez pas d'être tragique. Que faites-vous donc en essayant de sauver ainsi la liberté, sinon fuir ce qui est? Ceci dit, je crois que Spinoza est un des plus grands penseurs de la liberté! Et je laisse à nouveau ce paradoxe à la nécessité.Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/10621642245396807366noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-22515884.post-1161170117433791762006-10-18T13:15:00.000+02:002006-10-18T13:15:00.000+02:00Reste à bien comprendre ce concept de puissance......Reste à bien comprendre ce concept de puissance...<BR/>Soit dit en passant, je ne doute nullement que Deleuze ait consacré de très belle pages à Spinoza, mais cela en fait un brillant commentateur, pas un philosophe, ce qui n'est nullement une injure!<BR/>JE relis en ce moment les pages de la Logique du pire qui sont consacrées à la "liberté", mais si vous pouvez m'indiquer les passages de l'Ethique intéresants, j'essaierai de les lire avec profit. MErci!Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-22515884.post-1161169805329240642006-10-18T13:10:00.000+02:002006-10-18T13:10:00.000+02:00LIBERTE = PUISSANCELIBERTE = PUISSANCEAnonymoushttps://www.blogger.com/profile/10621642245396807366noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-22515884.post-1161169108557403782006-10-18T12:58:00.000+02:002006-10-18T12:58:00.000+02:00Je ressors Le Monde (et ses remèdes!) et p. 15, je...Je ressors Le Monde (et ses remèdes!) et p. 15, je lis une note : "Qu'il soit de toute façon entendu que je ne parle que de liberté métaphysique, soit de ses rapports avec l'être et el donné, et non pas de liberté au sein du donné, soit la liberté d'attitude et de comportement, dont rien ne peut aire douter, sinon les prisons. Rien de ceci ne concerne odnc liberté politique et civique."<BR/>Autrement dit, que le libre-arbitre soit une illusion en tant que concept chez Descartes, oui; mais peut-on considérer que tout est déterpminé jusqu'au moindre battement de paupière? N'y a-t-il pas de liberté, ne serait-ce qu'accidentelle? JE veux dire : pas ed finalisme et tout a une cause, certes; mais cet enchaîunement causal implacable signifiet-t-il pour autant que l'homme n'ait aucune incidence sur son comportement, c'est-à-dire une certaine liberté, fût-elle minme, une fois le déterminisme de sa constitution te de l'interaction avec son environnement posé? J'ai du mal à me positionner par rapport à ces questions.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-22515884.post-1161156009259947362006-10-18T09:20:00.000+02:002006-10-18T09:20:00.000+02:00C'est bien l'objet de ma note, Koffi. Activité et ...C'est bien l'objet de ma note, Koffi. Activité et liberté sont une seule et même chose chez Spinoza mais cette liberté se définit comme "libre nécessité". Je ne suis libre qu'en tant que je comprends la nécessité des choses... Eh oui, je conçois que cela fasse mal mais c'est une opinion à laquelle se rallie très volontiers Rosset. Il s'agit simplement de contester le libre-arbitre cartésien. Nous somme soumis à un strict déterminisme. Mais pour autant que nous vivons selon la raison, nous serons actifs (non passifs ou réactifs), puissants et joyeux. On est en droit de refuser le système spinoziste mais si on l'accepte, on accpepte aussi de perdre sa liberté... ou de la rabattre sur la puissance. Deleuze - désolé - a dit beaucoup de belles choses à ce sujet.<BR/><BR/>Enfin, nulle part Spinoza ne dit que tout est écrit à l'avance, mais que tout a une cause qui elle-même a une cause et ainsi de suite, à l'infini, selon la plus srticte nécessité et de toute éternité, en tant que tout ce qui est est mode de la substance, savoir Dieu ou la nature. La nécessité est ici l'analogue presque parfait de ce que Rosset appelle la cruauté du réel qui, hasard pur, n'en est pas moins absolument nécessaire (on voit cela exposé très clairement dès Le Monde et ses remèdes en 1964).<BR/><BR/>Voilà, j'espère avoir été assez clair et m'excuse auprès des spinozistes d'avoir résumé aussi grossièrement Baruch...Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/10621642245396807366noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-22515884.post-1161118897213843502006-10-17T23:01:00.000+02:002006-10-17T23:01:00.000+02:00Moi qui n'ai pas lu Spinoza (je sais...), ma quest...Moi qui n'ai pas lu Spinoza (je sais...), ma question serait : si le possible est une illusion rétroactive, comme le dirait Bergson je crois, comment échapper au piège du strict et pur déterminisme, qui nie toute liberté au sein de l'action? Il serait dangereux de penser que tout est écrit à l'avance et que nous sommes seulement les pantisn de la substance qui nous régit?Anonymousnoreply@blogger.com