18/01/2007

Etre, devoir-être et idiotie...

A méditer...

« Ce qui est universellement valable est aussi universellement valide ; ce qui doit être est en fait aussi, et ce qui est seulement censé être sans être n’a aucune vérité »

(Hegel, Phénoménologie de l'esprit, éd. Académie, vol. 9, p 142, 1980).

6 commentaires:

  1. Anonyme7:41 PM

    Cela correspondrait-il au mot que de Parménide que cite Rosset ?

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  2. fortuitement et partiellement...
    méditons, méditons...

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  3. Anonyme10:16 PM

    en tout cas, je le comprends comme l'idée de la nécessité de la réalité, à la différence du possible qui est de l'illusoire...
    Hegel, à chaque fois qu'on me le vulgarise, c'est absolument riche, mais à lire, c'est ardu!

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  4. Anonyme4:10 PM

    genre de ce qui n'existe pas, nous n'avons pas à parler. C'est un garde fou de la methode idéaliste: "mais bien sûr que je fais la différence entre le réel et mes chimères..."

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  5. que veut dire "genre"? j'ai peur de mal (ou de trop bien) saisir votre message.

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  6. jeanpaulgalibert.wordpress.com10:19 PM

    Pour ma part, je lis ici l'identification complète de l'être et du devoir être.
    Je ne suis pas sûr que cela soit très hegelien, mais c'est très proche de ce que j'ai pu écrire dans mon livre sur le rien. Méfiance...

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